Le fumoir de Sacquenville

par | 3 Mai 2022 | Actualités | 0 commentaires

Jean-Luc Vallée, artisan traiteur

Depuis tout jeune, Jean-Luc est animé d’une réelle passion pour la cuisine. En eff et, l’art de cuisiner est comme une seconde nature pour lui. De l’apprentissage à la confi rmation de son savoir-faire, son parcours commence au LEP Décretot de Louviers où il obtient son CAP (certifi cat d’aptitude professionnelle) de cuisine traditionnelle à l’âge de 16 ans. Puis, 10 ans comme commis de cuisine à l’auberge normande de Courcelles-sur-Seine, 2 ans au Pré Catelan en tant que commis chez Mr Gaston Lenotre, 2 ans au El Chiquito de Rueil Malmaison comme chef de parti puis second et 10 ans chef à Vironvay au Gourmet Normand parachève son parcours professionnel abouti. En 2001, il cumule sa micro-entreprise d’artisan fumage de viande et poisson avec un emploi d’essayeur sur pistes au centre d’essai Renault d’Aubevoye.
En 2007, il convertit la somme de ses expériences pour son propre compte, délaissant la restauration pour se diriger vers le métier de cuisinier traiteur lui off rant plus de contact avec la clientèle. Il commence par des petits marchés et foires.
A la question, le Fumoir de Sacquenville, pourquoi ? Il explique: « La réponse est dans le texte. D’une part, le fumage est ma première activité, elle est reconnue comme pratique artisanale par la CMAE (chambre des métiers et de l’artisanat de l’Eure) et d’autre part, Sacquenville, c’est mon village, mes racines ».

Une large palette de prestations

Il conseille et accompagne les clients dans l’organisation de leurs événements, dressage de la table et service, location de vaisselle, repas à domicile, cocktail dînatoire, buff ets, plancha, barbecue, communion, mariage, etc.

Malgré la pandémie

Au plus fort de la pandémie, il rebondit et met en place un système de plat à emporter ou à livrer, lui permettant de continuer à fonctionner. Mais la marge est faible : les frais de livraison (jusqu’à 2 pleins de carburant par semaine), le prix des emballages et des tarifs à la baisse. Tant bien que mal, le Fumoir reste toujours ouvert. Malgré l’aide bienvenue de l’État de 50.000 €, l’entreprise devra combler un défi cit d’activité pendant 2 ans. « Mais le Fumoir est solide, n’étant pas gourmand, il reste des capitaux dans la société » confie Jean-Luc.
Notre Chef local, continuera donc, pour un budget raisonnable à nous mitonner ses recettes à partir de produits frais et de proximité avec pour souhait de partager entre autres, le goût de notre région.
Afin de mieux définir les envies et de prendre le temps de répondre aux attentes des clients, il accueille exclusivement sur rendez-vous.

Des présentations hautes en couleurs
Aller au contenu principal